mercredi 4 février 2009

Pendant l'attente à Miami

Dans nos récents articles nous avons beaucoup parlé de ce que nous faisions, particulièrement sur le bateau, mais pas beaucoup de ce que nous avions vue. Maintenant que nous sommes à Miami nous voudrions vous présenter quelques autres aspects de la ville. En passant, nous avons ajouté de nouveaux vidéos et plusieurs images sous les boutons ‘’Vidéos’’ et ‘’Photos’’ dans le haut de la page. Allez y jeter un coup d’œil.
À notre arrivé à Miami, nous avons été accueillis par les gratte-ciels du centre-ville se tenant tels des géants comme s’ils gardaient les longues allées maritimes reliant l’océan aux rives de la ville. Sur cette photo, vous pouvez voir le chenal sud où nous étions redirigés plutôt que prendre le chenal central du nom de ‘’Government Cut’’. La raison pour laquelle nous ne pouvions prendre le Government Cut n’est pas très claire mais si vous pouviez voir les longs quais de chaque coté du chenal de 3 à 4 kilomètres de long sur lesquels sont amarrés l’uns derrière l’autre les super navires de croisières ça vous donnerait une idée. Lorsqu’il est question de voilier, notre Chocobo se défend assez bien mais comparé avec ce qui flotte dans le coin, il ressemble plutôt à un bouchon de liège avec un cure-dent planté dedans!

Pour ce que nous en avons compris, Miami possède trois moyens de transport en commun. Il y a les autobus ordinaires, les metrotrains tel que montré sur cette photo et les metromovers sur la photo suivante. Les metrotrains jouent le rôle de métro mais sont entièrement dans les airs. Ils n’ont pas de neige à pelleter ici l’hiver alors ils n’ont pas à les enfouir sous terre. Les gens peuvent entrer dans les trains avec leur vélo, ce qui rend l’usage du transport en commun beaucoup plus pratique. Il en est de même avec les autobus où les vélos sont attachés à l’avant du bus. Un autre aspect intéressant sur cette photo ce sont les gratte-ciels que l’on trouve partout dans la ville. Presque tous les édifices dans cette photo sont des blocs appartements et non pas des édifices à bureau. Bien sûr, il y a des édifices à bureau au centre-ville mais la plupart sont des habitations. Il est, en fait, intéressant de constater que Miami ne couvre pas une si grande superficie mais possède beaucoup de ces hauts édifices.

Les metromovers forment le troisième moyen de transport en commun de Miami. Il s’agit d’un système entièrement automatisé de navettes voyageant en continu sur deux circuits en boucle dans le centre-ville. Les boucles relient les stations majeurs de transfère avec les autobus ou le metrotrain en plus de s’arrêter à plusieurs autres stations dans le centre-ville. L’admission au metromovers est entièrement gratuite! On ne voit pas cela très souvent de nos jours. La seule attrape avec les metromover, c’est que les deux circuits en boucle ont une section commune de telle sorte que lorsqu’une navette arrive, il faut faire attention de bien regarder le panneau lumineux indiquant à quelle boucle elle appartient. Évidement, Danielle et moi n’avions aucune idée de cela et nous aurions bien demandé à quelqu’un comment le système fonctionnait lorsque nous nous sommes rendu compte que la navette à prise une courbe qui nous amenait dans la direction opposée où nous allions. Mais il faut se rappeler que Miami est une ville cubaine et que la majorité de la population est unilingue espagnole. Toutes les personnes que nous avons vue et qui étaient soit chauffeur d’autobus, travailleurs de la construction, caissiers, serveurs ou travaillant dans un restaurant de bouffe minute étaient tous cubains à quelques exceptions près, dans quels cas ils étaient noirs. Tous parlaient espagnol, y compris les noirs. Alors, étant donné que nous n’avons pas fait nos devoirs et n’avons pas appris les rudiments de l’espagnol, nous avons dû nous débrouiller par nous même pour nous rendre là où nous voulions.

Cette photo à été prise tout près de l’une des stations principales du metrotrain. Nous n’avons aucune idée qu’est-ce que ces poules et coqs font à cet endroit mais nous savons qu’ils y vivent puisque nous les avons vus au même endroit à différent jours. Étant donné le nombre impressionnant d’itinérants qui vivent à Miami, c’est presque un miracle que ces poulets juteux n’aient jamais fini dans l’estomac de quelqu’un tanné de manger à la soupe populaire!




Comme vous l’avez probablement déjà remarqué dans notre page ‘’Couts’’, une de nos activité préférée est de magasiner les pièces de bateau. Ici vous pouvez voir Danielle en face de notre magasin préféré avec sa nouvelle robe marine. J En fait, nous avions à acheter cette corde de 225 pieds après avoir parler à d’autre gens au sujet des ancres marines et que nous avons réalisé que ce que nous avions était complètement inadéquat. Étant donné que nous devions retourner au bateau par le metrotrain, vous pouvez vous imaginer que Danielle n’est pas passée inaperçue attriqué comme une balle de laine. C’est une bonne chose que nous n’ayons pas rencontré de chats!







Lorsque nous somme arrivé à Miami, nous avons mouillé l’ancre près de South Beach (Miami Beach) juste au sud du Venetian Causeway. À un moment donné, le long de notre route, le bateau c’est presque immobilisé comme si nous venions de nous échouer et ce même si les deux indicateurs de profondeur indiquaient au moins 8 pieds de profond. Nous avons réussi à nous déprendre à l’aide des moteurs et avons continué notre route sans trop savoir ce que nous avions heurté. Une fois à l’ancre, nous avons utilisé notre ‘’Fish TV’’ pour regarder les hélices et s’assurer que tout était en ordre. Il s’agit d’une caméra submersible qui nous à été offerte avant notre départ par le père de Danielle. Vous pouvez voir le vidéo sur notre page ‘’Vidéo’’ et le film s’appelle ‘’Helice enroulee’’. Nous avons alors réalisé, que notre hélice de tribord était ficelée par une corde. Nous n’avons aucune idée pourquoi l’hélice n’a pas figée et ne s’est pas brisée mais il est clair que nous avons été très chanceux. Le jour suivant, j’ai plongé pour aller déprendre l’hélice comme vous pouvez le voir sur la photo. Ce que vous ne voyez pas, par contre, c’est combien l’eau était froide. Lorsque je me suis jeté à l’eau je me suis mis à me tortiller comme un chat qui se fait marcher sur la queue. Puis, lorsque j’ai fini par contrôler mon hypothermie, je me suis mis au boulot et j’ai dépris la corde. Pour vous dire combien l’eau était froide, après la plongée j’ai pris une douche à l’eau froide et je l’ai trouvée chaude!

Dans notre blogue, nous parlons souvent de ‘’boule de mouillage’’ alors que pour la majorité des gens cela ne veux rien dire. Cette photo montre le champ de bouées de la marina de Crandon Park où vous pouvez clairement voir les boules auxquels les bateaux sont amarrés. Bien sur, les boules elle-même ne tiennent pas les bateaux. Elles sont en fait reliées, par une chaine, à une pesé très lourde d’environs 500 à 800 livres qu’il est pratiquement impossible de tirer avec un bateau. L’idée derrière ces boules c’est qu’elles coûtent beaucoup moins chère que les quais, et si vous voulez notre avis, elles sont beaucoup agréable puisque le bateau n’est pas continuellement poussé contre le quai mais tourne au gré du vent ou du courant.