Il semble que nous ayons finalement une fenêtre météo pour quitter Aruba mais malheureusement, nous ne pourrons pas suivre notre plan original qui consistait à naviguer directement vers les îles de San Blas au Panama. À la place, nous allons suivre la côte colombienne et nous rendre soit à Carthagène ou bien couper directement aux San Blas une fois que nous sommes assez loin. Pour comprendre notre décision, vous avez besoin de sortir votre Atlas et regarder la carte de la Colombie. À l’extrémité nord-est du pays, il y a une énorme péninsule qui s’étend dans la mer des Caraïbes et qui porte le nom de Péninsula de la Guajira. Pour faire une histoire courte, le vent arrivant de l’est frappe la péninsule ainsi que la partie nord du Venezuela créant un effet de cap et accélérant l’air qui lui arrive dessus. Le résultat est une zone permanente de vents très violents située sur la partie ouest de la péninsule et très dangereuse à traverser. Après avoir discuté avec d’autres navigateurs et lu sur le sujet, nous avons décidé qu’il serait plus sécuritaire de suivre la côte colombienne, malgré sa mauvaise réputation, et d’arrêter à quelques endroits le long du chemin plutôt que d’aller traverser un enfer certain plus au large.
vendredi 4 décembre 2009
Aruba et changement d’itinéraire.
L’île d’Aruba est une destination populaire pour les touristes et lorsque nous sommes allés à Oranjestad il y avait quatre bateaux de croisière géants amarrés aux quais du port. La capital Oranjestad est appelée par certain Las-Vegas on the Beach et aussitôt que nous avons mis le pied à terre nous avons compris pourquoi. Les hôtels, les casinos et les marchés pour touristes remplissent la rue principale qui s’étend le long du bord de mer. Mais nous n’avons plus vraiment beaucoup d’intérêts pour ce genre d’activité et nous sommes allés seulement une journée à terre pour marcher et acheter des fruits et légumes frais. Le reste de la semaine, nous sommes restés tranquille sur le bateau en attendant notre fenêtre météo pour continuer notre voyage.
Il semble que nous ayons finalement une fenêtre météo pour quitter Aruba mais malheureusement, nous ne pourrons pas suivre notre plan original qui consistait à naviguer directement vers les îles de San Blas au Panama. À la place, nous allons suivre la côte colombienne et nous rendre soit à Carthagène ou bien couper directement aux San Blas une fois que nous sommes assez loin. Pour comprendre notre décision, vous avez besoin de sortir votre Atlas et regarder la carte de la Colombie. À l’extrémité nord-est du pays, il y a une énorme péninsule qui s’étend dans la mer des Caraïbes et qui porte le nom de Péninsula de la Guajira. Pour faire une histoire courte, le vent arrivant de l’est frappe la péninsule ainsi que la partie nord du Venezuela créant un effet de cap et accélérant l’air qui lui arrive dessus. Le résultat est une zone permanente de vents très violents située sur la partie ouest de la péninsule et très dangereuse à traverser. Après avoir discuté avec d’autres navigateurs et lu sur le sujet, nous avons décidé qu’il serait plus sécuritaire de suivre la côte colombienne, malgré sa mauvaise réputation, et d’arrêter à quelques endroits le long du chemin plutôt que d’aller traverser un enfer certain plus au large.
Il semble que nous ayons finalement une fenêtre météo pour quitter Aruba mais malheureusement, nous ne pourrons pas suivre notre plan original qui consistait à naviguer directement vers les îles de San Blas au Panama. À la place, nous allons suivre la côte colombienne et nous rendre soit à Carthagène ou bien couper directement aux San Blas une fois que nous sommes assez loin. Pour comprendre notre décision, vous avez besoin de sortir votre Atlas et regarder la carte de la Colombie. À l’extrémité nord-est du pays, il y a une énorme péninsule qui s’étend dans la mer des Caraïbes et qui porte le nom de Péninsula de la Guajira. Pour faire une histoire courte, le vent arrivant de l’est frappe la péninsule ainsi que la partie nord du Venezuela créant un effet de cap et accélérant l’air qui lui arrive dessus. Le résultat est une zone permanente de vents très violents située sur la partie ouest de la péninsule et très dangereuse à traverser. Après avoir discuté avec d’autres navigateurs et lu sur le sujet, nous avons décidé qu’il serait plus sécuritaire de suivre la côte colombienne, malgré sa mauvaise réputation, et d’arrêter à quelques endroits le long du chemin plutôt que d’aller traverser un enfer certain plus au large.