dimanche 31 mai 2009

La mère de Danielle en Guadeloupe

Arrivés en Guadeloupe, nous devions aller chercher Claudette, la mère de Danielle, à l’aéroport de Pointe-à-Pitre qui est la métropole de la Guadeloupe. Claudette est venue passer quelques semaines avec nous pour naviguer vers le sud le long des Antilles. Vous pourriez penser que je suis dans un beau pétrin à avoir à vivre quelques semaines avec ma belle-mère dans un bateau de 40 pieds mais ne vous en faites pas pour moi, Claudette est probablement la meilleur belle-mère qu’un homme peut espérer avoir. Elle est, en fait, venu vivre avec nous à la maison durant les trois mois précédant notre départ et nous a aidé sans relâche à vendre tous les articles de la maison et à arranger nos affaires. On ne sait vraiment pas comment nous aurions pu partir à temps sans l’aide de Claudette. En l’occurrence, nous sommes très heureux qu’elle vienne prendre un peu de soleil avec nous même si cela veut dire d’entasser encore plus tous les articles que nous avons à bord afin de libérer la chambre des invités. Nous ne pensions pas que cela était possible mais nous y sommes parvenus. Évidement, ne nous demandez pas de sortir une seule visse de la chambre de storage après cela!
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.La Guadeloupe, comme toutes les îles de la région, est très belle. On ne trouve peut-être pas les filles sexys marchant sur la plage que l’on voyait dans les annonces télé de notre enfance mais c’est quand même un très bel endroit. Pointe-à-Pitre est en fait une assez grand ville, avec des tas de magasins où vous pouvez trouver des articles assez inhabituels, tels que ce magasin de robes et chapeaux où Danielle à vraiment acheté un chapeau. Il s’agit du chapeau beige en bas à droite de la robe rouge. Bien sûr, si elle avait été un peu plus rebelle, elle aurait pu acheter le chapeau rouge à plume que l’on voit sur le mannequin mais il ne faut pas trop pousser quand même! Malheureusement, nous ne sommes pas restés très longtemps à Pointe-à-Pitre et nous sommes partis le lendemain pour Les Îles des Saintes à environs 20 miles au sud de Pointe-à-Pitre.

mardi 26 mai 2009

Arrivés en Guadeloupe

Ce fut l’une des balades les plus intéressante jusqu’à maintenant. Sur une distance totale de 42 miles, nous sommes partis à moteur afin de contourner Montserrat par le nord puis nous avons hissé les voiles et motovoilé pendant environs deux heures. À ce moment nous avons éteint les moteurs et avons voilé la majeure partie du trajet. À environs 11 miles de Deshaies en Guadeloupe, le vent est passé de 15 nœuds à presque rien. Nous avons donc motorisé le reste du trajet et nous nous sommes ancré après 8 heures en mer ce 8 mai dernier.

Montserrat la magnifique, la blessée, la résiliente.

L’île volcanique et colonie britannique de Montserrat est probablement l’un des endroits les plus incroyable que nous ayons visité jusqu’à maintenant. Premièrement, les paysages sont simplement magnifiques avec des collines majestueuses et de jolis villages mais ce sont des caractéristiques que l’on retrouve dans la plupart des îles volcanique de la région. Ce qui rend Montserrat vraiment unique est le fait que la moitié de l’île est réellement un volcan en activité et que toutes les zones autour de Soufrière Hill, c’est le nom du volcan, sont fermées pout tout le monde sauf les scientifiques qui étudient et observent l’activité du volcan. Nous nous sommes ancrés dans la baie de Rendez-vous, juste à coté de la nouvelle capitale Little Bay. Entourée par des falaises de 200 pieds de haut, la baie nous offre non seulement un bon abri mais aussi un panorama magnifique. En regardant les falaises, nous pouvons observer plusieurs oiseaux vivant dans cet endroit idéal pour leur sécurité. Mais la chose la plus intrigante que l’on pouvait voir était les chèvres marchant sur les bords étroits des falaises et mangeant ce qu’ils pouvaient bien trouver sur les bords de ces précipices. Leurs pieds mous leurs permet d’escalader les flans abrupte des falaises sans tomber et bien sur, ils n’ont pas le vertige. Finalement, une fois la nuit tombée on pouvait entendre un son fort et aigu en provenance des falaises. Un policier du coin nous a confirmé que c’était bel et bien le son des chauves-souris qui vivent dans les grottes de la falaise. Cette nuit là, nous nous sommes sérieusement demandés si l’on ne devait pas mettre les moustiquaires aux fenêtres, non pas pour les moustiques mais pour nos voisins ailés!









Les oiseaux, les chauves-souris et les chèvres c’est bien beau mais ce que nous voulions voir à tout prix était le volcan et voir la larve couler hors de la bouche de ce Titan crachant les feux de l’enfer! Bon, ok c’a ne s’est pas passé exactement comme cela. Voyez-vous, ici à Montserrat le volcan est certes actif mais son magma est très visqueux et ne coule pas à proprement dit. Ce qui se passe, est que le magma et les cendres s’amassent au sommet du volcan et crée un dôme. Évidement, à un moment donné le dôme devient très abrupt et la roche ne peut plus se tenir. À ce moment là, une espèce d’avalanche, qu’ils appellent une coulée pyroclastique, s’enclenche et des millions de tonnes de roche en fusion et de cendre déboulent le long de la montagne, détruisant et ensevelissant tout sur leur passage. Certaines coulées sont petites et restent au sommet alors que d’autre se rendent complètement jusqu’à la mer. Mais il y a un autre phénomène qui cause tout autant de dommage et ce sont les coulées de boue. Lorsque le dôme est très haut et qu’il pleut abondamment, le dôme s’effondre et glisse en une énorme coulée de boue enterrant tout sur sont passage. Ou bien, cela peut se passer plus graduellement et la boue s’accumule jusqu’à ensevelir maisons et routes. Sur les photos, vous pouvez voir une ancienne rivière qui est maintenant une coulée de boue continuelle. Autrefois, cela était un terrain de golf et l’une des magnifiques maisons à trois étages bâties le long du parcourt fût enseveli. Danielle est présentement accotée sur le toit du balcon du deuxième étage. J’ai mentionné à notre guide qu’ils pouvaient toujours faire un terrain de golf avec l’endroit mais seulement pour les vrais joueurs. Pas le genre de mauviettes qui ont besoins d’un fairway en gazon bien tondu mais ceux de la trempe de ceux qui jouent en Février au Canada avec des balles blanches! En arrière plan de la troisième photo, vous pouvez voir l’ancienne ville et capitale de Plymouth qui a été entièrement ensevelie il y a quelques années à peine.








Durant notre visite, nous n’avons pas seulement vue le travail de destruction du volcan mais aussi combien résilient les gens de Montserrat étaient. Après avoir subit la destruction de leurs principaux centres urbains, ils utilisent maintenant l’aide monétaire de l’Union Européenne pour rebâtir complètement une nouvelle capitale ainsi que les infrastructures économiques qui leurs permettront de revenir à une vie normale. Derrière moi, vous pouvez voir les chantiers de constructions de la nouvelle capitale. Montserrat a maintenant une population d’environs 5000 habitants et, avec toute les nouvelles constructions en court, ils ont un taux de chômage à peu près nul. Ils sont fiers et continuent sans relâche en assumant les fardeaux que Mère Nature leur impose continuellement. Parlant maman ‘N’, elle ne fait pas que faire griller les villages environnants mais offre aussi un sol très fertile pour à peu près tout ce qui pousse. En plus des mangues absolument délicieuses qui nous avons cueillies durant notre visite, nous avons gouté à quelque chose d’assez inhabituel; le fruit de l’arbre de cajou. Sur la photo vous pouvez voir le fruit rouge et sur le dessus la noix de cajou, que l’on appelle communément en bon français ‘des cashews’ et que l’on mange régulièrement. Mais le fruit lui-même, est très bon et très juteux. Si juteux en fait, que la meilleure façon de le manger et de se l’enfiler complètement dans la bouche et de mâcher. Ok, ce n’est pas très élégant mais c’est bon en titi! Je ne sais vraiment pas pourquoi le fruit n’est pas exporté ou bien son jus commercialisé mais je suis certain qu’il y a une bonne opportunité d’affaire ici. Si jamais vous tombez sur un de ces fruits, n’hésitez pas et mangez-le!

Arrivés à Montserrat

Nous sommes arrivés le 20 mai à l’île volcanique de Montserrat, en provenance de Nevis, après un passage de 33nm qui nous a pris un peut plus de 7 heures. Avec le vent un peu au nez, nous avons dû motovoiler mais avec seulement un moteur la consommation de diesel était faible. En passant, la moitié de l’île de Montserrat est un volcan actif, ça promet!

dimanche 17 mai 2009

Arrivés à St-Kitts et Nevis

Nous sommes arrivés à St-Kitts et Nevis en provenance de St-Barth le 15 mai après l’unes des plus belles voiles que nous ayons eu jusqu’à maintenant dans ce voyage. Avec un bon vent de coté, nous avons été bercés par la longue houle océanique pendant plus de quatre heures de ce voyage de 45 miles nautiques sous un soleil superbe avec la magnifique île volcanique de St-Kitts comme image de fond.

Grand Case, St-Barth et de la visite.

Dans un premier temps, après avoir quitté Marigot, nous nous sommes rendus à Grand Case à quelques miles au nord sur l’île de St-Martin. Nous sommes maintenant en compagnie de deux amis d’Ottawa, Garry et Darlene, qui sont venus passer quelques jours sous les tropiques avec nous. À Grand Case, nous avons eu le plaisir de savourer tout un plat typique des Caraïbes dans une sorte de plaza en ville où ils ont des tables et des grills et servent les clients. Nous avons eu droit à du poulet grillé, du plantain frit, des crevettes créoles, une cristophine farcie ainsi que du riz et des fèves. Tous ce que le palet à besoin pour se délecter! Nous sommes resté qu’une seule journée à Grand Case mais nous avons quand même eu le temps d’aller faire de la plongé en apnée au Rocher Créole où nous avons été accueillis par une manne de poissons espérant que nous leur donnions des morceaux de pain tels qu’ils ont été accoutumés par les touristes habituels. Mais nous ne sommes pas habituels alors pas de pain! Pour aller à terre, nous devons utiliser notre dinghy gonflable et ainsi aller jusqu’au quai publique. Nos invités, Garry et Darlene, nous ont remémorés la grâce que l’on avait au début lorsque l’on essayait de passer d’un bateau ballotté de haut en bas par les vagues à une balloune gonflée flottant sur les mêmes vagues mouvementées et puis d’essayer de sortir de la même balloune pour monter sur un mur de quatre pieds avec comme seul appuis un petit taquet rouillé tenant de peine et de misère au quai! Danielle et moi avons eu notre lot d’embarquement ‘’spectaculaires’’ dans notre dinghy mais on commence à être meilleur maintenant, à tout le moins c’est ce que l’on croit.














Nous nous sommes rendus à Gustavia sur l’île de St-Barth, qui est probablement l’endroit le plus dispendieux dans les Caraïbes. Sur une distance d’à peine deux coins de rue, vous pouvez faire vos emplettes habituels chez Christian Dior, Cartier ou bien Lacoste et acheter une montre pour seulement 12,000.00 Euros ($16,200.00 US) ou encore un sac à main en solde à 50% pour la modique somme de 350.00 Euros ($473.00 US)! Sincèrement, nous ne savons pas qui peut se permettre de magasiner ici mais il ne s’agit sûrement pas de navigateurs sans emploi comme nous qui doivent dépenser le ¾ de leur budget en réparations de bateau! Néanmoins, nous avons quand même pu nous offrir un repas au restaurant, sans entrées ou de dessert, mais quand même apprécier l’une des meilleurs nourritures que nous avons eu la chance de savourer depuis des années. Les français savent définitivement cuisiner, et ce même dans les îles les plus reculées.

Alors que nous étions à Marigot, Danielle s’est fait une petite coupure sur le doigt alors que nous montions sur le quai public. Elle m’a alors demandé de regarder pour une écharde qu’elle semblait sentir. J’ai regardé, mais tout ce que je pouvais voir était une petite coupure alors elle l’a lavée et on ne s’en est plus préoccupé. Il n’y a pas une semaine qui passe dans ce voyage sans que l’on verse notre sang d’une façon ou d’une autre alors ce n’est pas une petite coupure qui allait nous préoccuper. Par contre, après quatre jours, la coupure à commencé à s’infecter et nous avons commencé à être inquiet. Nous sommes donc allé à l’hôpital à St-Barth où le docteur a ouvert la coupure pour la nettoyer et pour essayer de trouver l’écharde, ou quoi que ce soit qui causait l’infection mais il n’a rien trouvé. Il a donc nettoyé, désinfecté puis refermé la plaie d’un point de suture. Le jour suivant, son doigt était complètement enflé et le sang s’était propagé un peu plus mais à ce point-ci nous croyons qu’il ne s’agit que d’une réaction au nettoyage de la plaie et à la recherche en profondeur que le médecin à fait. Nous gardons maintenant la blessure à l’œil et Danielle a été placée sur la liste des invalides et est interdite d’utilisation de sa main jusqu’à ce que la situation revienne à la normale.

Arrivée à St-Barthélémy

Nous sommes arrivés à St-Barth le 12 mai après un passage houleux en provenance de St-Martin. Nous espérions un meilleur angle par rapport au vent mais malheureusement nous avons dû motoriser la grande partie des 19 miles nautiques entre St-Martin et St-Barth. La bonne nouvelle est que cela a pris moins de quatre heures et que nous faisions face à une longue houle plutôt que les vagues courtes et mouvementées auxquelles nous étions confrontés depuis la République Dominicaine.

dimanche 10 mai 2009

Relaxer à Marigot (St-Martin)

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C’est vraiment impressionnant de voir la différence de culture que l’on trouve d’une île à l’autre dans la région. En République Dominicaine, les gens parlaient espagnole, étaient relaxes et il n’y avait presque aucune règles. Puis à Puerto Rico c’était un mix d’espagnole et d’anglais dans une culture développée de type Américaine. À St-Thomas on y parlait anglais avec une population très majoritairement noire et maintenant à St-Martin, un territoire français, parlant français et anglais avec une population complètement mixte. Toutes ces cultures vivant à moins de 30 à 50 miles l’une de l’autre tout en ayant des mondes de distance entre eux. Après avoir navigué pendant plusieurs centaines de miles à contre vent et contre les vagues, il faisait bon de s’arrêter quelques temps dans la grande baie de Marigot d’où nous attendons un couple d’amis de Ottawa qui viennent passer quelques jours avec nous. Il n’y a pas beaucoup d’attraits touristiques ici à Marigot and nous avons pris le temps de nettoyer le bateau et de se promener en ville et dans les magasins. Marigot, avec ses grands magasins pour bateau, est un endroit de choix pour faire des réparations. On y retrouve également tous les services de réparation possibles et impossibles. Heureusement pour nous, Chocobo est toujours en bon état de marche après les réparations de Puerto Rico et, pour faire changement, nous n’avons pas eu à trop débourser d’argent. La photo de droite a été prise en 2004 alors que la photo de gauche viens tout juste d’être prise en 2009. Il n’y a pas beaucoup de différence excepté pour Danielle qui est un peu plus visible.Pour ceux qui fument toujours et qui aimeraient arrêter alors je vous dis de faire attention pour ne pas devenir un peu plus visible haha!

Sur le bord de l’eau les gens tiennent ici, deux fois par semaines, un marché maraicher où l’on espérait renflouer nos provisions de fruits et légumes frais mais nous nous sommes rapidement buté aux prix locaux. Ils n’y a définitivement pas d’aubaines à faire ici, les prix sont élevés et les marchants, contrairement à leurs titre, ne marchandes pas. Malgré tout, Danielle est arrivée à avoir un certain rabais en changeant tous les prix en Euro, que la marchande lui disait, pour le même nombre mais en dollars américain. Ils acceptent les deux devises ici. La valeur du dollar américain étant plus basse que l’euro cela nous donnait environs 30% de rabais, mais même avec cela c’était chère. On s’ennuis vraiment de la République Dominicaine où on pouvait acheter un ananas pour $1 alors qu’ici on ne s’en tire pas à moins de $6. N’oubliez pas que les ananas poussent juste sur l’île d’à coté ici! Nous avons donc fait nos emplettes principalement au supermarché mais le bon coté des choses c’est qu’ici, on a finalement du bon vin, du bon fromage et de vrais pâtés. Si vous vous demandez ce que sont les petites boules blanches dans le bol, il s’agit d’œufs de cailles à la coque. On nous avait dit qu’ils étaient excellent alors nous les avons essayés. Ils étaient effectivement bon mais goutait exactement la même chose que des œufs de poule ordinaire, juste plus petit! Par contre, le vin et le pâté de foie étaient à se rouler par terre.

mercredi 6 mai 2009

Calypso

Laisser moi vous présenter un gentil couple que nous avons rencontré sur notre route. Voici Phillipe et Mary-Anne. Ils sont propriétaire d'un Manta 42 et sont en voyage sur leur bateau depuis plus de 2 ans. Ils sont maintenant prêt à passé à autre chose et voudrait vendre leur Manta 42. SI en lisant notre aventure, l'idée de partir en voyage tout comme nous vous est venu, alors voila votre chance, aller voir Calypso en cliquant sur le lien suivant www.mantacatamaranforsale.com/index.html

mardi 5 mai 2009

Arrivé à St-Martin (France)

Nous sommes tout juste arrivés à l’île de St-Martin en provenance de St-Thomas après un voyage de 100 miles et qui nous a pris 22 heures. Nous étions supposés passer quelques jours de plus dans les USVI et BVI mais une bonne fenêtre météo s’est présentée et nous ne voulions pas la laisser passer. Avec un vent plus fort, ce passage aurait pu être un cauchemar. C’était un peu tumultueux mais rien de trop grave. Nous sommes juste contents que le voyage vers l’est est maintenant terminé.

Un carnaval et une rencontre avec des amis.

Notre séjour dans les Îles Vierges aura été plutôt bref, seulement deux jours. Dès le départ, nous n’avions pas l’intension d’y rester très longtemps mais un peu plus quand même. Le fait est, qu’une fenêtre météo s’est présentée pour notre dernier passage vers les Antilles et l’île de St-Martin et nous avons décidé de la prendre. Un peu plus tôt, lorsque nous étions à Puerto Rico, nous avons reçu un email de Geoff et Ruth à bord de leur voilier Geru nous offrant de les rencontrer à St-Thomas le 1er mai. Cela s’alignait assez bien avec notre itinéraire alors nous nous somme arrangés pour les rencontrer à cette date. Geoff et Ruth sont deux ingénieurs avec qui Roger à travaillé à Ottawa. Ils sont parti un an avant nous dans un voyage suivant, à toute fin pratique, le même chemin que nous avons suivi et qui les amena jusqu’aux Grenadines. Ils sont maintenant sur le chemin du retour vers le nord and nous étions très content de les revoir à nouveau mais cette fois sur l’eau. Deux jours durant, nous avons soupé avec eux et mémérer jusqu’à 2 :00 du matin. Cela peut paraitre tôt pour certain mais lorsque l’on vit sur un bateau, irrémédiablement on se synchronise avec le soleil. Alors à 20 :00 on est dans le lit! Et oui, on est peut-être encore jeunes mais avec un cycle de sommeil gériatrique! Si vous désirez lire leurs aventures, cliqué sur le lien suivant http://www.svgeru.blogspot.com/

À ce temps de l’année, St-Thomas célèbre le Carnaval des Caraïbes et c’était donc un très bon temps pour nous d’y être. Durant les deux jours de notre visite, et toute la semaine avant, la ville célébrait avec des parades durant le jour et de la musique à tue tête le soir jusqu’à 3 heurs du matin. Le party étant près du bord de l’eau, nous pouvions clairement entendre la musique tonitruante toute la nuit. Il y a une chose que nous avons remarquée dans les Caraïbes, c’est que les compagnies de hauts parleurs font des affaires d’or. Les gens ici aiment leur musique forte, et je veux dire très forte. Sur le bateau, nous pouvions parfaitement sentir les vibrations de la basse sur les murs et le plancher. Est-ce que cela nous dérangeait dans notre sommeil? Hey, vous parlez à des gens qui couchent juste au dessus d’un moteur diesel en marche durant leurs passages de nuit alors quelques décibels musicales on peut faire avec! Qui plus est, lors du dernier soir nous avons pu assister à un magnifique feu d’artifice qui était présenté directement sur le bord de l’eau. À bord du bateau, nous avions les meilleures places qu’il était possible d’avoir. En fait, nous étions si près des feux d’artifice que nous avons dû bouger le bateau d’endroit durant l’après midi car nous étions exactement dans la zone où tombaient les fusées!

samedi 2 mai 2009

Arrivé aux iles Vierges Américaines

Arrivé aux iles vierges Américaines.